Prenez deux vieilles grilles métalliques, quelques pièces détachées d’un vélo, une bonne dose d’imagination et… non, jamais vous n’arriverez à un résultat aussi farfelu que Stephen Williams. Comme le dit si bien l’artiste : « La juxtaposition d’objets des plus banals produit souvent un résultat final qui dépasse la somme des éléments de départ ». C’est sûr, sur ce coup-là, il méritait bien une mention spéciale dans le grand traité du vélosophe. De son aveu, le ‘locked gate bike’ n’est pas hyper confortable, mais voyons le bon côté des choses : même sans cadenas, pas certain qu’on ose lui piquer. Du moins sans se faire griller…
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